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Quelle avenir pour l’enseignement Supérieur en Afrique : “Sondage Auprès de vous…”

L’éducation existe depuis l’antiquité, c’est-à-dire l’ère des Homo sapiens ou il vu, toucha et appris l’art de manière tous outils, qui traversait les mailles de leur regard. Allumer le feu avec des pierres, se vêtir avec des feuilles d’arbres, limer des morceaux de bois à l’aide d’un caillou afin de les égisser, faire usage des lianes pour se mouvoir d’un point à l’autre pour ne citer que cela…

Des années passa et intellect humaine se développa radicalement en fonction de son milieu / écosystème en pleine évolution. Il créa les technologies, des infrastructures, des monuments archéologique et architecturale et tous ceci grâce à la seule force de sa pensée. Et tous cela, en majeur partie grâce à un accompagnement dans la documentation, le développement de l’esprit critique et l’aptitude à apporter des solutions. Cet accompagnement n’étant pas autre que l’enseignement dans les institutions universitaires.  Du coup, lorsque vous regardez autour de vous à l’heure actuelle, quelle perspective pouvait-vous envisagez pour les génération futur ? Moi-même je me l’intérroge parfois…

La jeunesse aujourd’hui, pôle d’un monde prospère de demain, tend à faillir à cette vision aspirationnelle. Ceci pouvant être du à une sorte de « Laissez Faire » à la base (parentale) de façon générale, les technologies mobiles ainsi que leurs outils divers qui a fortement impacté sur assiduité intellectuel potentiellement innovante d’un pourcentage élever de cette génération pour ne citer que cela. Ce qui à valu appellation aujourd’hui de « Génération Tête Basser (GTB) ». Du coup, l’inclusion à la base des valeurs morales demeure un pas positif à un meilleur épanouissement durant la phase éducationnelle du jeune.

L’enseignement supérieur en Afrique, suit une courbe ascension louable, depuis les années 90s. De plus en plus d’institutions d’encadrement au niveau supérieur ouvre ses portes à chaque nouvelle année. Ce qui prouve que des promoteurs, qui s’y ont mis dans la création d’atélier de formation, ont perçu sur le terrain cette demande continuelle en formation supérieur par la génération actuelle. Cela étant dit, on note également un accroissement des institutions d’enseignement supérieur technique au détriment de ceux considérer comme enseignement supérieur de type « générale »… Du coup, est-ce que ces expansions sont « homogène » selon le type d’enseignement solliciter et la compétence demandé dans le monde de l’emploi ? Sondage ??? Ce qui est c’est que en Afrique, toute main susceptible d’apporter une once de contribution à la rehausse du plan de développement continentale sera toujours la bienvenue. Du coup :

  • Est-ce que tous les domaines d’activités sectorielles sont équitablement représentés dans l’enseignement supérieur en Afrique ?
  • Est-ce que la capacités d’accueil institutionnelles selon les filières proposées sont équitables en Afrique?
  • Est-ce que l’enseignement supérieur technique est prisé et prioritaire que l’enseignement supérieur de type « générale » ?
  • L’étudiant s’inscris t’il dans une filière qui lui fournira juste un profit rapide et substantielle dans le monde professionnelle (intérêt) ou par passion pour la chose ?

Quelques questions parmi tant d’autres qui nécessite réflexion.

Une nation diffère d’une autre sur quasi tous les plans de développement selon la politique adoptées. Ceci du coup, induit une variation de la qualité de l’enseignement supérieur dispensées mais, les besoins en ressources humaines ainsi que la compétence qui va avec dans tous secteurs d’activités reste perceptible. Du coup, comment capitaliser tous cela ? A mon humble avis, la réponse repose sur les institution d’enseignement de la place. On a la compétence, on a un fond de roulement mais est-ce que chaque personne physique contribuant à régirent la notoriété de institution en question porte en lui « L’humanisme, l’esprit anti-corruption et valeur morale » ??? Question…

Une chose est sur c’est que, l’enseignement supérieur est indispensable pour la jeunesse en croissance constante car c’est de la qu’on obtient l’éducation, la formation et l’information nécessaire pour une meilleur insertion professionnelle. Du coup, ces espaces de gestion et d’apport en connaissance doivent constamment mettre en place des stratégies de promotion des valeurs africaines afin que chaque ressortissants, après formation et information, s’y applique tous d’abord pour son épanouissement personnelle mais aussi pour une meilleure visibilité de la qualité d’encadrement qu’il ou elle a eu a percevoir de son « Bateau en croisière continu » qui est, l’institution d’enseignement supérieur d’Afrique. Le futur de l’enseignement supérieur en Afrique atteindra son apogée lorsque chaque institution à la base aura fermement consolider son mode de fonctionnement à travers une bonne gouvernance (sur tous les plans du terme) et que conjointement ensemble, à travers la plateforme de l’Association des Universités Africaines (AUA), l’Afrique s’illumine encore plus grandement au yeux du monde sur le plan développement…… Journée de l’université Africaine…

Rédiger par : BAPPA SE Marc G., Online #SMR for #AUDAY2015

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